7 MINUTES IN HEAVEN
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 Elizabeth Summerby

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AuteurMessage
Elizabeth Summerby

Elizabeth Summerby


Messages : 2
Date d'inscription : 17/05/2008
Age : 32

PS : i love you.
i can't live without her/him. :
where are you ?:
i love you .. or not !:

Elizabeth Summerby Empty
MessageSujet: Elizabeth Summerby   Elizabeth Summerby Icon_minitimeSam 17 Mai - 23:41

.E.L.I.Z.A.B.E.T.H. .S.U.M.M.E.R.B.Y.

.P.A.R.T. .O.N.E.

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I. BIENVENUE A LOS-ANGELES...

Nom :
Summerby

Prénom(s) :
Elizabeth - Kristin

Surnom(s)* :
A vous de voir... !

Âge :
17 ans

Date et lieu de naissance :
26 mai 1991 - London

Groupe (Glamourous, Art, Popular..) :
Art

Avatar (vérifiez la liste !) :

Rose McGowan



II. MA PERSONNALITÉ PLUS EN DETAILS ...

Caractère (8 lignes) :
Stresseusse dans l'âme, Elizabeth est réputée pour être assez perfectioniste lorsqu'il sagit de boulot, d'organisation d'une soirée, etc... Sur ce dernier point, d'ailleurs, on peut préciser qu'elle aime donner son avis et aider, en ce qui concerne les organisations, et peut être assez chiante enquiquinante dans ces moments là. Travailleuse, elle préfère s'avancer dans ses devoirs, pour avoir plus de temps libre par la suite sans avoir à se soucier du reste.Par contre, on la verra rarement travailler à la Bibliothèque : elle trouve ce lieu trop "sérieux". Son plus gros défault est de loin sa sensibilité, elle a tendance à pleurer pour un tout et pour un rien (surtout pour un rien), et les pleurs des autres sont contagieux pour elle.
Avec les autres, Elizabeth est une fille assez timide, qui a besoin d'être entourée et de se savoir aimée. Elle n 'est pas du genre à faire le premiers pas vers les autres, et peut paraître coincée au début d'une rencontre. Néanmoins, lorsqu'elle sait qu'elle peut compter sur quelqu'un, elle change radicalement de caractère et devient très sociale. Mais elle a toujours un peu de mal avec les mecs qui l'intéressent, de peur, tout simplement, de se rendre ridicule. En revanche, elle pert totalement cette timidité lorsqu'elle monte sur scène. Elle adore jouer, et se lache totalement dans ses roles, et ce depuis qu'elle a commencé le théatre, à l'âge de sept ans. Très altruiste, elle donne tout aux autres, et souvent même trop, elle ne sait pas dire non. Elle est toujours là, à l'écoute des autres, mais ne viendra jamais pleurer dans les bras de quelqu'un : malgré le fait qu'elle craque facilement, elle fait tout son possible pour rester forte... Ce qui souvent, échoue lamentablement.

Plus grande qualité :
Son altruisme

Plus grand défaut :
Son habitude de chacher ses sentiments. Elle peut souvent tomber en déprime...

Manie / TOC :

Elizabeth a une facheuse tendance à être trop stresseuse.



III. MES PRÉFÉRENCES ...

Style d'homme :
Ah ça... Elle ne le sait pas encore... Pourtant elle a essayé, elle est passé par plusieurs mais... Nan, jamais le bon. Ce qu'elle sait, c'est qu'elle n'aime pas les dragueurs professionels.

Plat préféré :
Ma mère est d'origine Italienne, elle nous fait des pâtes sublimes...

Couleur préférée :
Le bleu

Film/Série préféré(e) :
Elle est restée en enfance, et garde en elle un certain goût pour les films fantastiques ou... les disneys !



IV. MA BIOGRAPHIE ...

Histoire :

~•~ 26 MAI 1991- 9H30 AM ~•~
Un homme attend patiement dans les couloirs de l'hôpital. Il a la mine sombre, inquiette, et semble fatigué. Une femme accord vers lui. "Mark !" Il relève la tête, mais y prette à peine attention. Elle s'assoie à côté de lui. "Alors ? Comment ça se passe ?" En guise de réponce, le dénomé Mark hoche la tête négativement. Il ne sait rien de ce qu'il se passe, personne ne l'a mis au courant, et il ne peut entrer pour voir. On n'accepte jamais les proches, qu'ils ont dit, ils ont tendance à stresser la mère. Et ils ont fermé la porte. Pour la enième fois, le futur papa se lève et va à la fenêtre de la salle d'accouchement, derrière laquelle d'épais stores cachent la vue. Il se prend la tête dans les mains, poussant un long soupir. Il entend toujours les gémissements de sa femme. Deux heures qu'elle est là. Deux heures qu'il attend. Sa soeur arrive et le prend dans ses bras, sourire au lèvres. "Allez, ça va aller... Papa... !" Sans vraiment y penser, il sourit à son tour. Plusieurs minutes passent encore, durant lesquelles Kate Summerby a le temps d'aller chercher un thé pour son frère. Puis des pleurs retentissent. Enfin ! Il se lève à nouveau, et retourne à la fenêtre. Il entend un rire. Celui de sa femme, si caractéristique. La porte s'ouvre, et on l'invite à entrer. Kelly est épuisée, mais un grand sourire reste comme bloqué sur son visage. Elle me tient dans ses bras, et me murmure mon prénom tout en caressant ma joue du bout de ses doigts. "Elizabeth..." Mon père a les larmes aux yeux. Il embrasse ma mère, avant de retourner à la contemplation de sa fille. Kate est restée sur le pied de la porte. Je ne sais pas encore qui elle est. Je ne vais pas tarder à le comprendre. Elle aussi pleure, elle caresse son ventre légèrement arondi...


~•~ 6 OCTOBRE 1994 - 10H00 PM ~•~

J'ai trois ans et des poussières, et je suis assise sur le lit de la chambre d'amis de ma tante. Et je pleure. C'est mon Papa qui m'a ammené là. Je voulais pas. J'aurai préféré rester chez moi, et qu'il finisse de me lire son histoire. Je connaitrai pas la fin de Swow White... J'aurai préféré que Maman ne crie pas, qu'elle ne pleure pas, et que Papa ne me laisse pas ici. Alors je pleure, parce que je sais ce qu'il va arriver. Je décide de descendre. Dans le couloir, je passe devant la chambre de Thomas, mon cousin. Il a le même âge que moi, presque. C'est moi la plus grande quand même. Y a pas de lumière sous la porte, et pas de bruit. Il doit dormir, lui... J'arrive à l'escalier. J'aime pas ça. En plus, je pleure, et je vois pas bien. Je passe une marche, puis deux. A la troisième, je manque de tomber. Je me raccroche au mur et je crie. Tatie Kate arrive, me prend dans ses bras et m'ammène sur la canapé, tout en maugréant. "Pourquoi tu ne dors pas ? Tu sais, il va pas te laisser là Papa, demain tu seras de retour à la maison. Et elle va bien Maman, elle va sûrement très bien même. Faut pas que tu t'en fasses ma chérie..." Elle arrête pas de parler. Ca m'énerve. Elle voit pas que je suis triste. Ca m'énerve. "Veux pas de petit frère." Elle se tait, et me regarde d'un air triste. Elle me serre dans ses bras et me caresse. Moi, je continue de pleurer. Et je finis par m'endormir. Je me réveille dans mon lit. Mon vrai lit. Il pleut dehors. J'entends rire au salon, je devine que Tatie Kate est là. Je vais au salon, et Papa est là. Mais pas Maman. Tant pis. Je cours dans les bras de Papa. "Il est où ?" - "Elle est où, ma puce, c'est une fille ! On ira la voir plus tard." Et plus tard, en effet, on va la voir. Elle est toute petite, elle fait que pleurer, et je la trouve pas belle. Tout le monde dit qu'elle est mignone autour. Y a toute la famille qui est là. Je me promets de la détester.



~•~ 15 AOUT 2007 - 5H59 ~•~

Plus qu'une minute... Et ça y est. Driiiiiiiiiiiiiiing ---- Boum ! ---- Driiiii Ca, c'est le bruit que fait un mon réveil lorsqu'il lui vient l'idée de sonner et quand mon oreiller arrive malencontreusement dessus. J'ai à peine le temps de me retourner que la porte de ma chambre s'ouvre à la volée, et qu'un petit monstre me saute dessus en guise de bonjour. J'explose de rire, et commence à chatouiller ma petite soeur. De la cuisine, j'entends ma mère qui nous hurle quelque chose d'incompréhensible. Mon père passe discrètement la tête par l'entrebâillement de la porte, et nous dit d'un air désolé que Viviane est d'humeur massacrante, et qu'elle lui a déjà balancé une tasse de café à la figure. En effet, je remarque que sa chemise blanche en porte encore les marques. Une fois de plus, ma soeur et moi partons en fou rire. Maman est beaucoup plus sur les nerfs depuis qu'elle attend son troisième enfant. On dit que c'est normal, que ce sont les hormones... M'enfin bref... Le taxi arrivera dans une heure. Vite, je me lève, prends mes affaires pour aller à la douche, tandis que Julia va prendre son petit déjeuner. Dix minutes plus tard, j'arrive à la cuisine. Je prends mon petit déjeuner en vitesse. Je n'ai pas très faim, à vrai dire, j'ai un peu peur... Non sans effort, mon père arrive à la cuisine, portant mes valises déjà prêtes. Il me regarde, essoufflé, l'air désespéré. Il a encore dix mètres à parcourir, et doit se demander ce que j'ai bien pu mettre là dedans. Je range mon bol, et remonte dans ma chambre. En passant, j'ai vu ma mère défaire mes valises pour la énième fois, histoire d'être bien sûre que tout y est. Une dernière fois avant de partir, je regarde les murs, recouverts par quelques photos restantes de mes amis, ma famille, ou quelques posters de mes groupes de rock préférés. Mon portable vibre sur ma table de nuit. Je me précipite. Faux espoir, l’Info clients. Déçue, je range le téléphone dans ma poche. Je regarde par la fenêtre. La rue est calme. Presque tout le monde dort, à cette heure-ci. J'entends, plus loin le crissement du volet d'un magasin qui s'ouvre.
Je vois le taxi arriver dans la rue. Il s'arrête devant la porte, et klaxonne. une fois de plus, ma mère hurle. Avec une boule au ventre, je sors et ferme la porte de la chambre. Puis je monte dans la voiture. Mon père a déjà mis les valises dedans. Lorsque tout le monde m'a rejoint à l'intérieur, la voiture démarre. Je jette un dernier regard à la porte de la maison avant que nous tournions au coin de la rue. Une fois à l'aéroport, nous arrivons devant la longue queue vers les enregistrements. On montre le billet, "Tu es sure que c'est bien ça ?" demande ma mère ; on leur donne les bagages "Tu as pris trop de trucs, ils vont être trop lourds" ; ceux-ci s'en vont vers les soutes "J'espère qu'ils ne vont pas les perdre...". C'est bientôt 10 heures, on va vers le pont numéro 4, menant au vol 736, Londres - Los Angeles. C'est là que vient le moment des au revoirs. Mes parents me serrent dans les bras, et je vois derrière eux ma soeur qui commence à pleurer. Je ferme les yeux pour ne pas craquer. Lorsque les embrassades avec mes parents sont terminées, j'ai le droit aux dernières recommandations de ma mère "Tu arriveras, il sera 9 heures là bas, ta tante t'appellera et vous vous donnerez un point de rendez-vous. Normalement, elle aura un sac rouge pour que tu puisses la reconnaître..." Je ne la laisse pas finir, et vais trouver ma soeur qui s'est mise à l'écart, et l'enlace, en lui caressant doucement les chevaux. Nous restons longtemps ainsi. Elle va me manquer. Et dire qu'au début, je la détestais...Je passe sous le détecteur de métaux. Il sonne. J'ai oublié de mettre mon portable dans la boite. Je repasse, tout est normal. Une dernière fois, je jette un coup d’œil à mon téléphone. Toujours rien. Je savais qu’il ne m’appellerai pas, de toute façon. C’est moi qui pars, même si c’est lui qui a cassé. Je me mors la lèvre. Il annoncent le départ, je montre pour la troisième fois mon passeport, ma carte d'enregistrement, ma carte d'identité, et monte dans l'avion. Les gens se poussent derrière moi, j'avance et cherche la place 28 côté hublot. Je vois à travers la fenêtre circulaire l'immense battisse de l'aéroport. Mes parents ont du rester, je crois, à attendre que je décolle. Je me mors la lèvre inférieure. Ca y est. Nous avançons doucement. J'attache ma ceinture. On accélère, puis décollons. J'écran en face de moi affiche l'altitude. On est haut. Trop haut. Enfin, je peux pleurer. J'ai l'impression de faire la plus grosse connerie de ma vie en les laissant là. J'ai toujours rêvé d'habiter Londres, j'ai toujours rêvé de devenir Actrice, j'ai toujours été passionnée par cette langue... Mais je n'avais jamais pensé que ça puisse se réaliser. Je n'étais pas prête, je crois. Alors je pleure. De tristesse, d'appréhension, je pleure.




V. TOI DERRIÈRE L'ÉCRAN...

Prénom réel :
Marie (Appellez moi Tutuce)

Âge réel :
16 ans, maiiiis ! Je vais sur mes 17 ! (*Sort*)

Comment avez-vous connu le forum ? :
Oula scratch Me suis baladée de top-sites à sites, de sites à partennaires, encore des tops, des partennaires...

Que pensez-vous du forum ? :
Bien ! Super design, concept, etc... Par contre, juste une question stupide... J'ai vu qu'il y avait des cours de français... On est à Los Angeles nan ? C'est des cours de langue étrangère, ou une erreur anodine ?

Evaluez votre niveau de RP :
J'ai jamais aimé me donner des notes ! 13 sur 20, je dirrais. Vous avez mon histoire en exemple.

Evaluez votre présence :
Environ 1,5 jour(s) sur un semaine. Désolée, je suis interne 6 jours sur 7...

Code de validation :
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Elizabeth Summerby

Elizabeth Summerby


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Date d'inscription : 17/05/2008
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MessageSujet: Re: Elizabeth Summerby   Elizabeth Summerby Icon_minitimeDim 8 Juin - 0:41

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