Un petit dessin | JAMES

Abigail était arrivée depuis presque une semaine, elle n'vaait toujours pas vue Amber ... mais bon, tant pis. Elle se baladait tranquilement, son carton a dessin sous le bras, guettant la moindre petite chose qu'elle pourrait dessiner ... Elle décida d'aller sur la plage. Il faisait du vent et ses chevuex blonds voletaient dans les airs. Elle aimait cette sensation de liberté. Elle avait un petit sourire. Elle vit au loin un coin de rochers où elle décida d'aller s'asseoir, elle serait ainsi tout a son aise pour dessiner. Elle alla donc s'y asseoir et sortit de son carton une feuille blanche vierge. Elle l'accrocha avec la petite pince pour eviter qu'elle ne s'envole, avec ce vent ... Elle se mit face a la mer, qui claquaiet sur le sables ses grandes vagues laissant échapper de grnades eclaboussures d'écume. Elle dessinait au fusain, retrnascrivant en noir et blanc toutes cette étendue de bleu ... Elle se sentait tellement bien au frais là ... C'était comme un petit bout de paradis.

Une pensée s'échappa pour sa mère, qu'elle n'avait pas revu depuis plus de douze ans maintenant, c'était dur et en même temps pas plus que ca ! Cela faisait tellement de temps maintenant qu'elle avait appris a vivre sans sa mère, sans présence féminine ... Ca avait été dur à l'adolescence ! Surtout avec son père violent. Mais il y avait toujours eu Amber. Elles avaient toutes les deux un lourd passé mais savaient ne pas en parler. C'était aussi bien ainsi.

Elle sentit quelqu'un se rapprocher. Elle tourna la tête pour voir qui était cette personne.

Le meilleur moyen, selon lui, de se vider l’esprit après une révélation assez frappante était soit le sport soit un jogging. Comme ces temps-ci le basket-ball demandait beaucoup de pratiques & d’entraînements, il n’avait pas la tête à en plus pratiquer un sport. Donc la deuxième option était la plus pratique. Enfin façon de parler. Il serait tout autant à bout de souffle, mais au moins il diversifierait ses champs d’intérêt. James s’était levé aux aurores. Chose inhabituelle. Mais cette fois-ci c’était différent, il ne se prélassa pas dans son lit jusqu’à ce que son réveil hurle dans ses oreilles. Il prit plutôt l’initiative d’aller faire un jogging. Il enfila des short grise ainsi qu’un t-shirt blanc. L’habit idéale destiné à vider son esprit. Il prit également le soin de se divertir en emportant son lecteur de musique. De cette manière il serait plus stimulé. James avala un petit déjeuner copieux et sortit. Il se mit à courir sans pour autant employer toute sa rapidité. Il préférait y aller en douceur. Il courait au son de ses chansons favorites. Il aimait se balader dans les rues lorsque toute la ville dormait encore. La brume du matin ainsi que la légère brise qui s’élevait l’émerveillait. C’était paisible. Mais parfait. Alors il aboutit sur la plage, ses pieds s’enfonçant dans le sable lui donnaient la sensation d’être ralenti. Alors il accéléra le pas et augmenta son rythme. Après quelques minutes, il était essoufflé. Assez que cela l’emmena à prendre une pause. Il s’avança vers la berge et resta sur place. Le balayement des vagues le relaxait. Cela l’emmena même à fermer les yeux un moment. La douce lumière que diffusait le soleil se déposait sur sa peau. C’était une sensation agréable. Après quelques minutes écoulées, il se remit à son jogging. Mais fut tenaillé par une personne se tenant sur un rocher. Une chevelure blonde, fut tout ce qu’il aperçu. Il devait s’approcher plus près pour voir cette personne. Puis dévoré par la curiosité, il s’en approcha et constata que cette dernière dessinait. Et elle fut surprise par son arrivée. Des gouttes de sueur perlaient sur son front et son fond sonore se diffusait dans ses écouteur et la demoiselle pouvait même l’entendre. Il la regarda intrigué par son oeuvre.

J’espère que je ne t’ai pas trop fait peur !

Se lever aux aurores ne ressemblait pas franchement à la belle blondinette, bien qu'elle appréciait grandement les balades matinales. Mais ce matin, tiraillée de cauchemards, elle avait décidé de se lever, quelque fut l'heure. Elle s'était douchée tout de suite et était partie, carton a dessin sous le bras. Abigail avait une phrase, bien à elle, plutôt un hymne de vie: quand tout change, seul l'art reste. Et c'était vrai ! Car dans toute sa vie, pourtan courte, elle avai déjà visiter des dizaines de villes Américaines, changé de lycée, de potes, et seuls ses dessins, ses peintures, ses photographies restaient. C'était l'unique chose qui la retenait dans chaque ville.

Elle avait éparpillé son âme dans chaque ville où elle avait mit les pieds. Qu'elle ait donné un de ses dessins à un enfant, qui souriait à la vue du chien dessiné au crayon, à une vieille dame qui voulait un souvenir de ses petits enfants jouant dans le parc ... A chaque fois c'était un petit bout d'elle qui partait, mais elle n'en était jamais triste. Elle aimait savoir qu'un petit bout d'elle vivait à plein d'endroits à la fois. Le plus gros bout étant ce corps qu'elle vivait comme un poids chaque jour passant. Mais aujourd'hui, à part les cuachemards, elle se sentait vraiment bien.

Revenons à cette personne, les pas qui l'avaient tirés de sa concentration et lui avait échappé un léger sursautement. Elle s'était donc tournée pour voir qui s'était approché. C'était un jeune homme, en tenue de course. Il avait un baladeur dans les oreilles, ou plutôt les écouteurs de son baladeur dans les oreilles, et elle pouvait entendre la musique qui s'en éhcappait. Il espérait ne pas lui avoir fait trop peur. Elle remarque qu'il regardait son dessin. Elle lui sourit, parlant un petit fort pour couvrir le bruit de la musique, pour qu'il l'entende sans lui demander de répéter.

Non non t'inquiètes ! Ca va ...

Elle retourna la tête ... Ne sachant pas trop si elle devait engager un peu plus la conversation .. .Alez lance toi blondinette, elle retourna son regard vers le jeune homme et sourit à nouveau.

T'es matinal ! Moi, le sport .... Pas à cette heure ci !

James fut d’abord surpris de sa présence à la plage à une heure si hâtive. Habituellement il était seul pour faire son jogging matinal. Personne n’avait eut l’idée de venir aux premières lueurs du soleil. Alors il était seul et ne s’en plaignait pas. Mais un peu de compagnie était tout autant appréciée. James avait d’abord cru halluciner une chevelure blonde comme le blé pour ensuite s’append que quelque un s’était niché sur un rocher pour laisser aller son imagination sur papier. Lui n’avait jamais osé essayer; en premier lieu parce qu’il n’avait aucun talent artistique et ensuite parce que jamais l’inspiration ne lui venait à l’esprit. Il était plus doué pour les sports et l’esprit de compétition lui venait tout naturellement. Alors pourquoi risquer les rires de son entourage en tentant un domaine où il n’excellait pas ? Quoi qu’il en soit il allait profiter de cet arrêt comme une seconde pause forcée quoique cela l’arrangeait. Il était à bout de souffle, mais continuait de repousser ses limites. Ce qu’il avait toujours fait. Il était donc heureux de reprendre une nouvelle pause bien mérité. Il empoigna sa bouteille d’eau et la porta à ses lèvres. Il en but à coup de grandes lampées. Il était assoiffé.

D’un point de vue extérieur, il n’était pas bien menaçant. Il avait peut-être une musculature et une taille imposante, mais tout ceux qui le connaissait savait qu’il était d’une douceur adorable. Jamais il ne blesserait quelque un volontairement sauf si bien sûr c’est mérité ou bien que quelque un s’attaquerait à ses proches. Une erreurs à ne pas commettre. Car il pouvait s’avérer d’une agressivité non redouté.

La demoiselle assise qui se tenait à ses côtés était d’une douceur tout autant adorable. Elle avait de long cheveux blond qui virevoltait au gré du vent. De plus elle avait de ses yeux bleus azures tout à fait envoûtants. A priori elle était une jeune fille soignée. La souplesse avec laquelle elle tenait son rayon pour tracer de fins traits en dévoilait assez sur sa personnalité. Souvent il n’avait qu’a observer les traits de son interlocuteur pour être fixé sur sa personnalité. Elle semblait une personne qui gagnait à être connue.

Pendant un instant j’ai cru être comme le monstre qu’on nous dit effrayant lorsque nos parents veulent nous obliger à nous endormir ! Alors tu me rassures.

Pendant l’espace d’une fraction de seconde, le temps qu’elle tourne la tête et revint à lui, il avait la certitude qu’elle ne lui adresserait plus la parole. Ce qu’il ne voulait surtout pas c’était que les gens prônent les apparences et ne l’aborde pas parce qu’il semblait hautain ou peu importe.

Bah ça me détend ça me permet de faire le vide quoique ces temps-ci je ne suis pas apte à vider mon esprit ! & toi t’est aussi matinale à dessiner aux premières lueurs du soleil ! Ah ce doit être l’inspiration !

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